Pour beaucoup, c’est le jour où jamais. Le jour J pour se lancer. Celui où la musique débarque en grandes pompes. Le jour où tous ceux que la musique fait vibrer aux tréfonds de l’âme, se sentent bien dans leurs baskets sur le pavé de la ville. De la place de la Pompe, en passant par la place aux Roues, la République, jusqu’à la rue du Château et Saint-Goustan, la fête a fait des étincelles sur le pavé.
Joie d’offrir…
Il n’y a définitivement pas d’âge, ni de condition sociale, ni même de technique musicale qui tienne en ce jour musical le plus long. Le plus joyeux aussi. La fête de la musique n’existe vraiment que pour ça. Pas de billet d’entrée qui tienne, pas de prestations de stars à prix d’or. Seuls comptent les sourires. Seul compte, comme on dit, ce précieux plaisir d’offrir et de recevoir.Rien n’était plus vrai hier à Auray, où une armada de musiciens de tout-poil, groupes, chanteurs, chorales et autres bagad, batucadas ou fanfares se sont ralliés à la cause.
Comme aux premiers jours
Une année record. Pas uniquement pour l’ensoleillement du jour, mais par l’engouement suscité par la fête. Populaire comme aux premiers jours…Au lendemain d’une autre fête, celle du match à sensations joué par les Bleus aux confins de la planète, la fête de la musique à la mode alréenne a pris des allures de mix éclectique et détendu, où chacun a su accorder ses violons…
Auray. Musique et bonne humeur à tous les étages...
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